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Agro-input packages for Farmers in West Africa
(2022)
Low agricultural productivity in West African countries and Chad is partly linked to low use of appropriate agricultural inputs, including improved seed varieties and appropriate fertilizers. Indeed, in this regard, it is generally mentioned that in this region the rate of coverage of needs for certified seeds is on average quite low around 25% and that the quantity of nutrients used on average in the ECOWAS zone was approximately per hectare of cultivable land of 17 kg/ha in 2017 and in 2020 of 20 kg/ha of nutrients below the 50 kg/ha advocated by the Abuja, Nigeria summit of June 2006 for the 2015 horizon and is lower than the average of 24 kg of nutrients per hectare for Africa and far from the annual average of 123 kg/ha of nutrient levels in 2017. Among the many reasons that can be cited to justify this state of affairs, training, awareness , access to knowledge and adequate information could play an important role. EnGRAIS1 and PAIRED are two projects funded by USAID2 and implemented respectively by the International Fertilizer Development Center (IFDC) and the West and Central African Council for Agricultural Research and Development (CORAF). IFDC and CORAF, as part of close cooperation between their two projects, have among other mandates to develop and make agricultural input packages (PIA) available to West African producers.These PIAs are sets: Adapted improved seeds and appropriate fertilizer recommendations accompanied by good agricultural practices (GAP) specific for each agroecological zone (AEZ) across West Africa and Chad. This desire of the two organizations is put into practice by the EnGRAIS and PAIRED projects, which both aim to contribute through their common objective: to develop and make available to producers in West Africa PIAs and a tool for decision support which will allow actors in the agricultural sector to have information on improved seeds, appropriate fertilizer recommendations, and GAP for the main crops in the region and this according to the different AEZs in order to boost yields and agricultural productivity. For this purpose they developed PIAs and the FeSeRWAM3 platform (https://feserwam.org/fr/accueil-2/), whose ancestor, focused on fertilizers, was FeRWAM4, is deployed online as well as the PIAs associated and will be available to all stakeholders. The PIAs are contained in the FeSeRWAM platform, online accessible via the internet, on cell phones, computers, and several other means of dissemination are planned. The FeSeRWAM platform helps generate PIAs including improved seeds, appropriate fertilizer recommendations, and GAPs for key priority crops in West Africa. It is on the sidelines of this collaboration that EnGRAIS has produced and disseminated more than 250 PIAs including 80 PIAs for the 2022 fiscal year, the 110 in 2021, after the 20 PIAs in 2020 and the 40 PIAs in 2019, to increase the range options always with the aim of continuing to contribute to awareness, information and training to widely disseminate these PIA. In this book, PIAs are organized by country and culture. It is a summary of the technical information selected with some illustrations to guide the technician in his dialogue with the producer so that specifically for his locality,the producer can produce efficiently through a judicious choice of crops, the appropriate fertilizers but also have a good technical route which will guide him to optimal production. This is why the PIA provides information on the crop (varieties, varietal characteristics, local names, performance, resistance to various stresses), fertilizer (nutrient recommendation, the right fertilizer, the right dose, the right period and the best location, and organic fertilizer), crop management (tillage, water management, weed management, crop residue management, management of organic manure, and organo-mineral amendments), and the locality (regional ZAE, country ZAE, localities, and much other information)
Aperçu des Statistiques sur les Engrais Benin 2017-2021
(2022)
Ce document présente un aperçu des statistiques sur les engrais au Bénin de 2017 à 2021, en mettant particulièrement l'accent sur l'année 2021. Le rapport est basé sur les données officielles de commerce provenant des douanes du Bénin, validées par le Groupe de Travail Technique sur les Engrais - Bénin (GTTE-BEN), avec les données de 2021 validées en juillet 2022. Le contenu inclut des sections sur la production, l'importation/exportation, les origines, l'analyse des importations de NPK, la consommation apparente d'engrais, et un résumé des principales conclusions. Les tendances clés incluent l'absence de production primaire d'engrais minéraux, un secteur croissant des engrais organiques avec BIOPHYTO en tant que producteur clé, et une réduction des importations d'engrais en 2021 en raison de hausses de prix. L'analyse révèle une part dominante d'importations de NPK, en particulier le NPK 14-18-18+6S+1B, utilisé pour la culture du coton. La consommation apparente d'engrais en 2021 a diminué de 5%, influencée par la diminution des importations et les différences entre les données des douanes et celles de CONACE. Le document met également en avant les statistiques spécifiques sur les engrais pour 2021 et le rôle d'AfricaFertilizer.org dans la fourniture de données de marché essentielles pour soutenir la mise en œuvre des politiques et la croissance des marchés compétitifs d'engrais en Afrique subsaharienne.
Aperçu des Statistiques sur les Engrais Benin 2018 - 2022
(2023)
Ce document donne un aperçu des statistiques sur les engrais au Bénin de 2018 à 2022, avec un accent sur les données de 2022. L'analyse est basée sur les données commerciales officielles des douanes béninoises et validées par le Groupe de travail technique sur les engrais (GTTEBEN). Les principales conclusions révèlent que même s’il n’existe pas de production primaire d’engrais minéraux au Bénin, la production d’engrais organiques est en croissance, dirigée par la société BIOPHYTO. En 2022, les importations d'engrais ont augmenté de 9 % pour atteindre 263 843 tonnes, principalement en raison de la demande accrue d'engrais pour les cultures vivrières et des achats anticipés dans un contexte de hausse des prix mondiaux des engrais. Les principaux engrais importés étaient l’urée et le NPK, qui représentaient ensemble 99 % des importations. En outre, le rapport met en évidence les tendances de consommation, les origines des importations et l’impact des politiques agricoles visant à garantir la disponibilité et l’accessibilité des engrais dans le contexte des défis économiques.
Aperçu des Statistiques sur les Engrais Benin 2019 - 2023
(2024)
L'édition 2024 de l'Aperçu des statistiques sur les engrais pour le Bénin fournit une analyse complète des tendances de la production, des importations et de la consommation d'engrais de 2019 à 2023. Ce rapport met en évidence une augmentation significative des importations d'engrais, qui ont augmenté de 27% pour atteindre 334 492 tonnes en 2023, en grande partie motivée par une demande accrue d’urée et un changement stratégique vers le super phosphate unique (SSP) comme substitut aux engrais composés NPK. La production d'engrais organiques a également connu une croissance notable de 12 %, reflétant la préférence des agriculteurs pour des options durables dans un contexte de hausse des coûts des engrais minéraux. De plus, la consommation apparente d'engrais au Bénin a augmenté de 26 %, soutenue par des programmes de subventions gouvernementaux visant à améliorer l'accessibilité pour les agriculteurs.
Aperçu des Statistiques sur les Engrais Burkina Faso 2017-2021
(2022)
Ce rapport fournit un aperçu des statistiques sur les engrais au Burkina Faso de 2017 à 2021, avec un accent sur l'année 2021. L'analyse est basée sur les produits présentant les quantités les plus élevées. Les données commerciales officielles obtenues auprès des douanes du Burkina Faso et validées par le Groupe de travail technique sur les engrais – Burkina Faso (GTTE-BFA) ont été utilisées. Les données de 2021 ont été validées le 31 mai 2022. Le rapport couvre la production, les importations, les origines, les utilisations agricoles et non agricoles, la consommation apparente d'engrais et la consommation réelle d'engrais. Il présente également les principaux participants du GTTE 2022.
Aperçu des Statistiques sur les Engrais Burkina Faso 2018 - 2022
(2023)
Cette publication présente un aperçu des statistiques des engrais au Burkina Faso sur la période de 2018 à 2022, avec une attention particulière portée à l'année 2022. Basée sur des données commerciales officielles fournies par les douanes burkinabè et validées par le Groupe de travail technique sur les engrais (GTTE-BFA), l'analyse souligne une augmentation de 25% des importations d'engrais, atteignant 243 397 tonnes en 2022, en réponse à une demande croissante des agriculteurs. Les principaux engrais importés incluent les NPK et l'urée, représentant respectivement 65% et 28% des volumes importés. La publication aborde également les défis liés à l'accessibilité financière pour les agriculteurs et les impacts des perturbations du marché dues à la crise russo-ukrainienne. Elle conclut par des recommandations pour améliorer la chaîne d'approvisionnement et la gestion des stocks d'engrais.
Aperçu des Statistiques sur les Engrais Burkina Faso 2019 - 2023
(2024)
Ce rapport donne un aperçu complet des statistiques sur les engrais au Burkina Faso de 2019 à 2023. Il s'appuie sur les données commerciales officielles des douanes du Burkina Faso, validées par le Groupe de travail technique sur les engrais (GTTE-BFA). Les sujets clés comprennent la production, l’importation, les modes de consommation et les utilisations agricoles et non agricoles des engrais. En 2023, les importations d’engrais ont augmenté de manière significative pour atteindre 317 944 tonnes, principalement sous l’effet d’un rebond de la demande agricole. Il convient de noter que la dépendance à l’égard des engrais NPK importés reste élevée, représentant 75 % des importations totales. La production d’engrais organiques a nettement augmenté en raison de la demande croissante dans un contexte de problèmes d’approvisionnement en engrais minéraux. Le rapport se termine par une synthèse de la consommation apparente d'engrais, qui a atteint 327.163 tonnes en 2023, soit une augmentation de 40% par rapport à l'année précédente.
Aperçu des Statistiques sur les Engrais Burundi 2018 - 2022
(2023)
Ce rapport donne un aperçu complet des statistiques sur les engrais au Burundi de 2018 à mi-2023, en se concentrant particulièrement sur les données de 2022. Il synthétise les données commerciales officielles provenant de l'Autorité fiscale du Burundi et du Ministère de l'Agriculture et de l'Elevage (MINAGRIE), validées par le Groupe de travail technique sur les engrais. Les aspects clés comprennent les tendances de la production, des importations, des exportations et de la consommation d’engrais, avec un accent particulier sur le rôle croissant des industries organo-minérales des engrais (FOMI) dans la production d’engrais organiques. L'analyse met en évidence les fluctuations des quantités importées influencées par les prix du marché mondial et les cycles de plantation saisonniers, identifiant le DAP comme l'engrais le plus importé. Le rapport examine également les origines des engrais, avec un changement notable dans les stratégies d'approvisionnement, et discute des implications des programmes de subventions gouvernementales visant à améliorer la productivité agricole. Ces données sont cruciales pour permettre aux parties prenantes de comprendre l’évolution du paysage des engrais au Burundi et d’éclairer les futures politiques agricoles.
Aperçu des Statistiques sur les Engrais Cote D'Ivoire 2017-2021
(2022)
Ce rapport présente un aperçu des statistiques sur les engrais en Côte d'Ivoire de 2017 à 2021, avec un accent sur l'année 2021. L'analyse est basée sur les produits ayant les quantités les plus élevées et est étayée par des données commerciales officielles obtenues auprès des douanes ivoiriennes et validées par le Groupe de travail technique sur les engrais - Côte d'Ivoire (GTTE-CIV). Les données pour 2021 ont été validées le 9 mars 2022. Le rapport couvre la production, les importations, les origines, les utilisations agricoles et non agricoles, l'analyse des importations de NPK, les exportations, les destinations, la consommation apparente d'engrais, et un résumé des principales statistiques.
Aperçu des Statistiques sur les Engrais Cote D’ivoire 2018 - 2022
(2023)
Ce rapport donne un aperçu complet des statistiques sur les engrais en Côte d'Ivoire de 2018 à 2022. Utilisant les données commerciales officielles validées par le Groupe de travail technique sur les engrais - Côte d'Ivoire (FTWG-CIV), le rapport met en évidence les principales tendances... production, importation, exportation et consommation d’engrais. L’analyse révèle notamment une réduction significative des importations d’engrais en 2022, en baisse de 39 % par rapport à l’année précédente, attribuée aux stocks excédentaires et à la hausse des prix. Le rapport examine en outre
Aperçu Des Statistiques Sur les Engrais Cote D’ivoire 2019 -2023
(2024)
Ce matériel donne un aperçu des statistiques sur les engrais en Côte d’Ivoire de 2019 à 2023. L’analyse est basée sur les produits dont les quantités sont les plus élevées. Les données ont été obtenues auprès des douanes ivoiriennes et validées par les Groupes de Travail Techniques sur les Engrais (FTWG-CIV). Bien qu'il n'y ait pas de production d'engrais en Côte d'Ivoire, ELEPHANT VERT produit des engrais organiques et a enregistré 10 000 tonnes en 2023. Les importations d'engrais ont augmenté de 78% en 2023 et sont liées à une reprise de la demande provoquée par la baisse des prix des engrais en 2023. Analyse des importations de NPK, il a été noté qu’en 2023, 26 % des NPK ont été importés directement aux agriculteurs. En analysant les origines des engrais, il a été noté que le Maroc était le premier fournisseur d’engrais en Côte d’Ivoire et représentait 45 % des importations en 2023. Les exportations ont augmenté de 26 % en 2023, une augmentation attribuée aux stratégies révisées. Les principales destinations des exportations de la Côte d’Ivoire étaient le Mali et le Burkina Faso.
Aperçu des Statistiques sur les Engrais Éthiopie 2010 - 2023
(2023)
Cet aperçu fournit des statistiques complètes sur les engrais en Éthiopie de 2010 à 2023, validées pour l'édition 2024 par le Groupe de travail technique sur les engrais (FTWG) en Éthiopie. En utilisant les données commerciales officielles du ministère de l'Agriculture et des Ressources naturelles (MoANR), de l'Ethiopian Agricultural Businesses Corporation (EABC) et de la Commission des douanes éthiopiennes (ECC), l'étude examine des paramètres clés tels que la production, l'importation, l'utilisation mensuelle, les origines et modes de consommation. Notamment, l’Éthiopie n’a actuellement aucune production primaire d’engrais inorganiques, dépendant principalement des importations – facilitées à plus de 90 % par l’EABC. L'analyse révèle une transition significative dans les types d'engrais, avec un passage de l'urée et du DAP aux composés NP initié en 2013. De plus, le document met en évidence l'émergence d'usines de mélange et les défis persistants liés à l'acidité du sol affectant la productivité agricole. Les résultats visent à informer les décideurs politiques et les parties prenantes du secteur agricole, en fournissant des informations essentielles pour une utilisation et une gestion efficaces des engrais.
Aperçu des Statistiques Sur les Engrais Ghana 2019 -2023
(2024)
Ce rapport fournit des détails sur la validation des données du Ghana effectuée les 12 et 13 mars 2024, en mettant l'accent sur 2023. L'analyse est basée sur les produits dont les quantités sont les plus élevées. Les données officielles ont été obtenues auprès du Service statistique du Ghana et des douanes, ainsi que des données du secteur privé sur la production biologique. Il a été noté qu'il n'y a pas de production d'engrais inorganiques au Ghana et peu de producteurs d'engrais organiques. Les engrais sont importés en vrac, mélangés à des formulations et distribués aux agro-commerçants. Les importations d'engrais ont diminué de 40 % en 2023, principalement parce que le gouvernement du Ghana n'a pas pu poursuivre ses programmes de subvention des semences et des engrais. Environ 95 % des engrais importés au Ghana en 2023 provenaient de 12 pays, dont 38 % du NPK provenant de Suisse, 26 % de Belgique, 14 % de Chine et 13 % d'Italie. Les réexportations du Ghana ont diminué de 60 %. La consommation d’engrais a été réduite de 30 % de 2022 à 2023.
Aperçu Des Statistiques sur les Engrais Kenya 2018 - 2022
(2023)
Ce document offre un aperçu des statistiques sur les engrais au Kenya de 2018 à 2022, avec un accent sur l'année 2022. Les données proviennent de données commerciales officielles obtenues auprès de l'Administration fiscale du Kenya et validées par le Groupe de travail technique sur les engrais - Kenya. Le document aborde divers aspects des engrais, notamment la production, l'importation, les origines, utilisation agricole et non agricole, et exportation. Parmi les points forts, on compte une baisse des importations d'engrais en 2022 en raison des perturbations mondiales de la chaîne d'approvisionnement et des prix élevés. Le document examine également les principaux types d'engrais importés, leur utilisation et les destinations des exportations.
Aperçu des Statistiques sur les Engrais Malawi 2016-2022
(2023)
Le secteur agricole du Malawi dépend fortement des engrais inorganiques importés, car il n'y a pas de production primaire dans le pays. Les principaux engrais importés comprennent le NPK, l'urée et le sulfate d'ammonium, avec des importations annuelles moyennes atteignant environ 352 000 à 375 000 tonnes de 2016 à 2022. Les principaux importateurs comme Malawi Fertilizer Company et Optichem 2000 Limited ont créé des usines de mélange, leur permettant de produire plus de 400 000 tonnes. d'engrais mélangés par an. L’introduction du Programme d’intrants abordables (AIP) en 2020 a considérablement augmenté la demande d’engrais en subventionnant les intrants pour plus de 3,5 millions d’agriculteurs. Cependant, le secteur est confronté à des défis, notamment la dévaluation de la monnaie, les fluctuations des prix mondiaux et les perturbations de la chaîne d'approvisionnement exacerbées par le conflit en cours entre la Russie et l'Ukraine, entraînant une diminution des importations en 2022. L'importation et la disponibilité des engrais en temps opportun sont essentielles, en particulier avant les principales plantations. saison de septembre à février. Cette situation souligne la nécessité d’une gestion efficace de la chaîne d’approvisionnement et de décisions politiques stratégiques pour améliorer l’accès aux engrais pour les agriculteurs malawites.
Aperçu des Statistiques sur les Engrais Mali 2017-2021
(2022)
Ce document présente un aperçu des statistiques sur les engrais au Mali pour la période de 2017 à 2021. L'analyse est basée sur les produits ayant les quantités les plus élevées. Les données, obtenues auprès des douanes maliennes et validées par le Groupe de travail technique sur les engrais - Mali (GTTE-MLI), couvrent la production, les importations, les origines, les utilisations agricoles et non agricoles, les exportations, les destinations, la consommation apparente d'engrais et la consommation réelle d'engrais. Le rapport met en évidence les évolutions dans la production, les importations, la consommation et les tendances d'utilisation. Les données constituent une ressource précieuse pour comprendre la dynamique des engrais au Mali.
Aperçu des Statistiques sur les Engrais Mali 2018-2022
(2023)
L'édition 2023 de l'Aperçu des statistiques sur les engrais pour le Mali présente une analyse complète des données sur les engrais de 2018 à 2022, avec un accent particulier sur 2022. Le rapport utilise des données commerciales officielles validées par le Groupe de travail technique du Mali sur les engrais (GTTE-MLI), la dernière validation des données ayant eu lieu le 16 mars 2023. Les domaines clés couverts comprennent la production, l'importation, l'origine, l'utilisation agricole et non agricole, l'exportation, la destination et la consommation apparente d'engrais. En 2022, le Mali a produit 100 000 tonnes de phosphate naturel granulaire (PNG) et 84 206 tonnes d'engrais organiques, principalement par des sociétés telles que TOGUNA Agro-Industries et ELEPHANT VERT. Les importations d'engrais ont atteint 383 292 tonnes, reflétant une tendance à la baisse ces dernières années en raison des crises géopolitiques et de la hausse des coûts. Les principaux engrais importés comprenaient des formulations d'urée et de NPK. Malgré les difficultés, la consommation apparente d'engrais a augmenté pour atteindre 431 736 tonnes. Le rapport se termine par un aperçu de la dynamique du marché des engrais au Mali, mettant en évidence l'impact des facteurs externes sur l'offre et les prix.
Aperçu des Statistiques sur les Engrais Mali 2019 - 2023
(2024)
Ce rapport présente un aperçu des statistiques sur les engrais au Mali de 2019 à 2023, en se concentrant sur les données validées par le Groupe de travail technique sur les engrais - Mali (FTWG-MLI) pour l'année 2023. L'analyse comprend des aspects clés tels que la production, les importations, les exportations, consommation et les origines des engrais. En 2023, les importations d'engrais du Mali ont augmenté de 9% par rapport à 2022, portées par une résurgence de la demande en matières premières, notamment pour la production de coton. La production d’engrais organiques a connu une légère baisse mais est restée stable par rapport aux niveaux d’avant la COVID-19, en raison des programmes de subventions en cours. Le rapport souligne notamment que la Russie reste un fournisseur important malgré les défis géopolitiques, tandis que le Burkina Faso est devenu la principale destination des exportations.
Aperçu des Statistiques sur les Engrais Nigeria 2019 - 2023
(2023)
Ce document donne un aperçu des statistiques sur les engrais au Nigeria de 2019 à 2023, avec un accent particulier sur 2023. L'analyse est basée sur les produits dont la quantité est la plus grande. Il existe actuellement trois usines de production d'urée au Nigeria : Notore, Indorama et Dangote. Une augmentation de 6 % a été enregistrée en 2023. Les importations d'engrais ont augmenté de 12 % de 2022 à 2023. Cependant, les exportations ont diminué, passant de 268 632 tonnes en 2022 à 242 661 tonnes en 2023 en raison des problèmes d'approvisionnement en gaz. En termes de consommation d’engrais, une augmentation de 26 % a été constatée. Des statistiques, on peut tirer les conclusions suivantes : 1. Étant donné que le calcaire représente environ 26 % des mélanges NPK, il est impératif que les données sur le calcaire (charge) soient incluses dans le processus de validation à l'avenir. En effet, le nombre d’entreprises de calcaire augmente. 2. Alors que les prix des matières premières ont chuté sur le marché mondial, les baisses des prix locaux du naira ont été entravées par des préoccupations liées au taux de change. 3. Pour résoudre la question de la disponibilité suffisante d'urée au Nigeria, un comité composé de membres du FTWG doit rédiger un document de politique sur le sujet des engrais (urée), qui sera présenté au Sénat, au Président, au Vice-président et le Ministre de l'Agriculture. 4. Le gouvernement fédéral devrait travailler avec la FEPSAN pour réglementer leurs activités.
Aperçu des Statistiques sur les Engrais Ouganda 2018-2022
(2023)
Ce rapport présente un aperçu des statistiques sur les engrais en Ouganda de 2018 à 2022, avec des données préliminaires pour 2023 (janvier à mai). Il se concentre principalement sur l’année 2022, en analysant les produits clés avec les quantités les plus élevées. Les données commerciales officielles de l'Autorité fiscale ougandaise, validées par un groupe de travail technique sur les engrais, constituent la base de l'analyse. Les principaux aspects couverts comprennent la production d’engrais, les importations, les origines et les tendances de consommation. Il convient de noter que l’Ouganda manque de production primaire d’engrais minéraux et dépend largement des importations, en particulier du NPK et de l’urée. Le rapport met en évidence les fluctuations des volumes d'importation, une baisse de la consommation d'engrais liée à la fin d'un programme de subventions et la dépendance du pays à l'égard de sources étrangères pour ses besoins en engrais.

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